Madame Claudia Martins est infirmière diplômée d'état, elle possède un DIU en Ménopause.

Madame Claudia Martins est infirmière diplômée d'état, elle possède un DIU en Ménopause.
Le docteur Amélie Lourtie est médecin spécialiste en Gynécologie-Obstétrique.
Madame Stéphanie Mennel est sage-femme à la Maternité du CHL. Elle possède un DIU en hypnose et orthogénie.
Madame Anaïs Rybczynski est sage-femme à la Maternité du CHL. Elle possède un DIU en orthogénie.
Le Centre Femme-Mère-Enfant du CHL vous propose une prise en charge au sein de la Clinique de l’Orthogénie. L'orthogénie est le terme appliqué à l'ensemble des méthodes de planification et de régulation des naissances. En pratique, il s’agit d’un centre spécialisé dans les différents moyens de contraception et des méthodes d'interruption volontaire de grossesse.
Au sein de la Clinique de l’Orthogénie, vous serez prise en charge par une équipe pluridisciplinaire composée de médecins-gynécologues, de sages-femmes spécialisées en orthogénie, de psychologues et d’assistantes sociales, afin de vous venir en aide à différents niveaux. Selon vos besoins, d’autres professionnels de la santé peuvent intervenir.
Il s’y pratique des consultations dans le cadre :
Des sages-femmes spécialisées en orthogénie y pratiquent des consultations de prévention et de conseil spécifiques pour les jeunes femmes adolescentes sur la contraception, la vie affective et la sexualité.
Au Luxembourg, l’interruption volontaire de grossesse (IVG) est autorisée jusqu’à 14 semaines d’aménorrhées ou 12 semaines de grossesse.
En cas de grossesse de moins de 8 semaines d’aménorrhée, vous pouvez également prendre contact avec le Planning Familial qui est apte à vous accompagner dans votre démarche. Si vous êtes à plus de 8 semaines d’aménorrhée, vous serez prise en charge au sein du CHL. Le CHL collabore avec le Planning Familial depuis plusieurs années afin de soutenir les femmes dans ce parcours particulier.
Vous pouvez également consulter d’abord votre médecin gynécologue traitant qui pourra vous orienter vers la structure la plus adaptée.
Vous avez la possibilité de prendre rapidement un rendez-vous pour une demande d’interruption volontaire de grossesse au sein de la clinique de l’orthogénie du CHL via le numéro de tél.: +352 4411-6341 ou via mail: sec.orthogenie@chl.lu
1ère consultation
Après votre demande de rendez-vous, vous aurez rapidement une 1e consultation avec la sage-femme et le médecin. Lors de ce premier rendez-vous, une échographie diagnostique de contrôle sera faite afin de savoir exactement à quel terme de la grossesse vous êtes. Une prise de sang viendra compléter le bilan. Selon le terme, nous vous proposerons la prise en charge la plus adaptée et vous aurez un délai de réflexion d’au moins 3 jours. Vous recevrez toutes les informations utiles concernant le déroulement de l’IVG, et, si nécessaire, des examens complémentaires vous seront prescrits. La contraception future sera également discutée.
Il est tout à fait possible, si les 2 partenaires le souhaitent, que le partenaire/conjoint soit présent au cours de la démarche d’IVG. L’IVG fait partie de l’histoire de la relation amoureuse et d’un couple. Aussi l’écoute du couple et/ou de chacun de ses membres est possible par des professionnels formés.
2ème consultation
Dans la plupart des cas, une 2e consultation sera réalisée afin de confirmer votre demande et de récupérer les résultats des examens complémentaires.
Selon le terme de la grossesse et en fonction des indications médicales, différentes méthodes peuvent alors être proposées :
Au cours de ce rendez-vous, la contraception future sera abordée, car elle peut être mise en place directement après l’IVG.
3ème consultation
Une visite de contrôle est absolument nécessaire après la réalisation de l'IVG. Elle permet de s'assurer que la grossesse est bien interrompue et qu'il n'existe pas de complication. Le contrôle peut être fait avec votre médecin ou gynécologue habituel, ou au sein de notre service. La contraception sera également rediscutée afin d’évaluer si la contraception prescrite vous convient et de l’adapter en cas de besoin.
Tout au long de ce parcours, vous pouvez à tout moment bénéficier d’un entretien avec nos psychologues et/ou nos assistantes sociales. Notre équipe expérimentée pourra vous proposer ces différents rendez-vous si elle le juge utile.
+ Coordonnées secrétariat 4411-6341 ou sec.orthogenie@chl.lu
Une IVG peut être pratiqué même si vous êtes mineure, vous pouvez en faire la demande sans en informer vos parents mais vous devez être accompagnée d’une personne majeure (18 ans accomplis) (Loi du 17 décembre 2014 Article 12 - (3)).
En tant que jeune femme mineure, vous avez la liberté de choix de cette personne : membre de votre entourage, de votre sa famille, professionnel socio-éducatif ou professionnel de santé… Le fait que la personne accompagnante soit majeure doit pouvoir être vérifié par l’établissement de santé ou le médecin. L’identité de cette personne est couverte par le secret. Cette personne vous accompagnera tout au long de la prise en charge et des différents rendez-vous.
L’adulte accompagnant une femme mineure dans sa démarche d’IVG ne se substitue pas à ses parents (ou à son représentant légal) et ne dispose d’aucun attribut de l’autorité parentale. Aucune responsabilité civile ou pénale de la personne ainsi désignée ne peut être engagée par la femme mineure ou par les titulaires de l’autorité parentale pour les faits se rattachant à sa mission. L’adulte accompagnant est tenu au secret. La divulgation du secret par la personne majeure accompagnant la personne mineure, auprès de ses parents ou de tiers, constituerait une atteinte à la vie privée.
Comme pour les femmes majeures, après avoir fait votre demande d’interruption de grossesse, le médecin vous informera sur les différentes méthodes. La consultation psycho-sociale est obligatoire pour les patientes mineures.
Si l’IVG nécessite une anesthésie générale, vous ne pourrez pas quitter seule l’hôpital. Cet accompagnement à la sortie doit être assuré par l’adulte choisi qui s’engage à vous accompagner jusqu’à la fin du parcours.
Vous avez la possibilité de prendre rapidement un rendez-vous pour une demande d’interruption volontaire de grossesse au sein de la clinique de l’orthogénie du CHL via le numéro de tél.: +352 4411-6341 ou via mail: sec.gyneco@chl.lu
Le Centre Femme-Mère-Enfant du CHL s’engage depuis plusieurs années dans l’accompagnement des femmes tout au long de leur vie : depuis la naissance, puis tout au long de l’enfance et de l’adolescence au sein de la Kannerklinik et par nos pédiatres spécialisées, et jusqu’à la ménopause à travers nos consultations de gynécologie et d’obstétrique.
Parler de sexualité et contraception avec ses parents ou avec ses professeurs devant toute une classe n’est jamais chose simple et encore moins à l’adolescence. L’éducation sexuelle des adolescents est aujourd’hui en grande partie réalisée par internet et de fausses informations pouvant mener à des comportements à risque peuvent être intégrées par les jeunes qui découvrent la sexualité et leur corps de plus en plus tôt.
Il est important de savoir que la proportion d’adolescents, filles ou garçons, qui ont leurs premières relations sexuelles avant 15 ans est estimée à 20 %. A 18 ans, 80 % des jeunes ont vécu au moins une relation sexuelle avec pénétration, et plus d’un tiers déclarent avoir déjà noué une relation durable. Il est donc important que nous nous engagions à les informer de manière professionnelle sur les risques, mais aussi sur tous les moyens de prévention avec une approche et un vocabulaire adapté à cette nouvelle génération très connectée et « informée ».
La clinique de l’orthogénie offre des consultations par des sages-femmes diplômées en orthogénie qui, à l’aide de différents outils ludiques, peuvent ainsi dialoguer facilement avec les jeunes sur la sexualité, leur vie affective et la contraception.
Les jeunes femmes peuvent consulter accompagnées de leur représentant légal ou seules. Au cours de ce premier rendez-vous, il n’y a pas d’examen gynécologique. Il s’agit de comprendre le besoin de la jeune femme, ses difficultés et de la guider. Dans la majorité des cas, la sage-femme va détecter le besoin en éducation sexuelle, corriger les fausses informations et identifier les comportements à risque. Au cours de la consultation, et si la jeune femme est déjà sexuellement active, un conseil en contraception sera donné et au besoin une consultation médicale avec dépistage des IST viendra compléter ce premier rendez-vous.
Discussion entre : Dr Thérèse Staub, Dr Isabel De La Fuente, Dr Jean Reuter et M. Gregory Gaudillot.
Point sur les hospitalisations. Quelle est la situation dans les services ?
Objectifs de la vaccination ?
Les variants gamma (« brésilien ») et delta (« indien ») circulent majoritairement au Luxembourg, tous les vaccins disponibles sont-ils efficaces contre ces variants ?
Tous nos collaborateurs connaissent désormais les 4 vaccins qui sont aujourd’hui enregistrés au Luxembourg néanmoins depuis leur commercialisation, on peut noter certaines évolutions sur les schémas d’administration, que doit-on retenir aujourd’hui ?
Qu’en est-il d’une 3ème dose ? Au Luxembourg, qui sont les personnes concernées par cette dose supplémentaire ? Et pour la population générale est-ce prévue ?
Les dernières recommandations du CSMI, plaident dans certaines situations, pour une vaccination hétérologue (appelée également "mix and match"), que doit-on comprendre par ce terme et quand est-ce applicable ?
Le personnel hésitant affirme souvent que le vaccin n’empêche pas la transmission du virus. Il est vrai que les études cliniques de phase III n’ont pas mesuré si les personnes vaccinées pouvaient encore transmettre le virus. Que disent les dernières publications ?
Lors de la première vidéo nous avions évoqué la situation particulière des femmes enceintes qu’il est toujours recommandé de vacciner... Aujourd’hui j’aimerais que l’on aborde la question de la vaccination des enfants et des adolescents de plus de 12ans dont la vaccination est autorisée avec le vaccin Pfizer depuis quelques semaines. Quelle est la balance bénéfices / risques pour cette population ?
Y a-t-il des adaptations vaccinales pour cette catégorie de patient en cas de maladie chronique, d’antécédent documenté d’infection au SARS-CoV-2 ...?
A-t-on des données sur la vaccination des enfants de moins de 12 ans ?
Etude DISCOVERY avec un nouveau bras : un anticorps monoclonal d'AstraZeneca.
Le Service National des Maladies infectieuses devrait dès la rentrée pouvoir disposer d’une association d’anticorps monoclonaux CASIRIVIMAB/INDEVIMAB qui devra être administrée à des patients en ambulatoire, dans les 5 jours qui suivent les 1ersymptômes ? Qui sera concerné par ce traitement ?
Enfin, une autre étude devrait s’intéresser au BARICITINIB, anti-tyrosine kinase. Que sait-on à ce stade ?
Conclusion et RAPPEL sur la Campagne "flash" de vaccination du 26 juillet destinée aux personnels hospitaliers et aux sous-traitants hospitaliers qui ne sont pas encore vaccinés. Plus d'informations sur cette campagne ici.
Le CHL a le plaisir de vous proposer des consultations médicales à Marnach dans le cadre de la décentralisation de la médecine spécialisée.
Ces consultations ont lieu dans les locaux du Centre Médical Nordstrooss - 1, rue de Marbourg L-9764 Marnach
Des consultations dans les spécialités médicales suivantes sont disponibles :
Du lundi au vendredi, de 08h00 à 19h00 (selon spécialité)
Après 19 années à la tête de la Direction des soins du CHL, Mme Monique Birkel vient de céder le flambeau de Directrice des soins à Mme Daniela Collas lors d’une cérémonie qui s’est tenue le 13 juillet au CHL.
Lors de la séance de passation le directeur général du CHL, le Dr Romain Nati, a exprimé sa reconnaissance à Monique Birkel pour son rôle essentiel dans le développement de la qualité et de la sécurité des soins au sein du CHL. Il l'a remercié particulièrement pour son engagement sans faille pour la reconnaissance et le développement de la profession infirmière.
Lors de la même cérémonie, Daniela Collas a été présentée en tant que nouvelle Directrice des soins. Connaissant parfaitement les rouages du CHL aussi bien que le contexte hospitalier, elle est bien placée pour succéder Monique Birkel à la Direction des soins.
Nommée à la fonction de Directrice des soins du CHL par la Commission administrative lors de sa séance du 02 avril 2021, Mme Daniela Collas prendra officiellement ses nouvelles fonctions à la Direction des soins le 15 juillet 2021.
Daniela Collas a débuté sa carrière au CHL en tant qu’infirmière anesthésiste et de réanimation au service de soins intensifs polyvalents de 2003 à 2010, puis en tant que chef d’unité au service de cardiologie et soins intensifs coronaires. De janvier 2014 à mars 2020, elle a été cadre soignant chef de départements cliniques.
Depuis avril 2020, elle est Soignant Directeur du pôle « Pôle Patients critiques » et occupe la mission transversale « Flux patients ».
De par sa formation et son parcours au sein du CHL, Daniela Collas profite d’une solide expérience professionnelle, managériale et en gestion de projets (ex : projet d’ordonnancement, certification Traumanetzwerk, projet BLS – RQI, etc.)
La Commission Administrative et le comité de direction lui souhaitent une chaleureuse bienvenue et plein de succès dans l’exercice de sa nouvelle fonction.
La ministre de la Santé, Paulette Lenert, a présenté le projet-pilote de réseau de prise en charge pluridisciplinaire du long-COVID lors d’une conférence de presse. Prévu pour une période de 6 mois, ce projet-pilote a été élaboré afin de répondre de manière adéquate à l’émergence inquiétante de ce nouveau problème de santé publique.
En effet, une proportion non négligeable de patients atteints de la COVID-19 gardent des séquelles de la maladie sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Ces patients peuvent avoir une fatigue persistante, des troubles neurologiques (cognitifs, sensoriels, céphalées, « brouillard cérébral »), des troubles cardiaques (douleurs et oppressions thoraciques, tachycardie, dyspnée, toux), ou encore des troubles de l’odorat et du goût. Des douleurs articulaires, des troubles digestifs et cutanés sont également fréquents. Les symptômes varient dans leur présentation et intensité, et peuvent aussi fluctuer dans la durée. On parle généralement de « long-COVID » si les symptômes persistent au-delà de trois mois après la phase aiguë d’infection.
« De nombreux patients ne parviennent pas à se remettre de leur phase post-aiguë, ils voient leur vie « brisée », ne parviennent pas à reprendre une activité professionnelle ni même les activités habituelles de leur vie journalière. Ils ne se reconnaissent plus dans leur vie quotidienne et souffrent de différents maux qui ne leur permettent pas de retrouver leur vie d’avant. Ceci m’a interpellé. », a expliqué Paulette Lenert, pour qui « une démarche pragmatique, rationnelle et scientifique de prise en charge de ces patients, dans le cadre d’une décision médicale partagée, pluridisciplinaire, s’avère nécessaire. »
Il est estimé qu’environ 1% des presque 70.000 cas de personnes infectées à ce jour au Luxembourg depuis mars 2020, sont concernés, donc environ 700 patients.
« Dans la grande majorité des cas, la prise en charge de ces symptômes prolongés, au cours d’une maladie COVID-19, est réalisée en soins de première ligne par des médecins généralistes. Toutefois, pour un certain nombre de patients chez qui des symptômes lourds persistent, la réalisation d’examens complémentaires et une prise en charge pluridisciplinaire coordonnée en milieu hospitalier sont nécessaires pour exclure une décompensation de comorbiditéssuite à la COVID-19. » a commenté le Dr Stéphanie Obertin, présidente du Cercle des médecins généralistes.
Une documentation, en lien avec les différentes étapes de prise en charge, doit être conduite en parallèle, de manière structurée, afin d’étayer d’éventuels travaux de recherche.
Un examen clinique approfondi, une écoute empathique et une exploration du patient dans sa globalité sont nécessaires pour porter un diagnostic en rapport avec ces symptômes prolongés. La prise en charge comprend une anamnèse spécifique, la mesure des paramètres vitaux, l’utilisation d’échelles d’évaluations validées et d’un bilan paraclinique parcimonieux.
« La prise en charge de la nouvelle pathologie long-COVID doit se faire en partenariat avec les médecins généralistes et les établissements de la rééducation ainsi que tous les autres spécialistes de rééducation de manière à développer un réseau de prise en charge dédié. », a souligné la ministre.
À cette fin, une convention de financement a été signée avec les structures partenaires du réseau, notamment le Service national des maladies infectieuses du Centre hospitalier de Luxembourg (CHL), le Centre National de Rééducation Fonctionnelle et de Réadaptation (REHAZENTER) et le Domaine Thermal Mondorf.
Comme l’a précisé le Dr Gaston Schütz, Directeur-général du REHAZENTER : « À ce jour, les traitements des patients long-COVID sont essentiellement symptomatiques et la rééducation y occupe une place centrale: rééducation respiratoire en cas de syndromes pulmonaires, rééducation olfactive en cas de troubles de l’odorat persistants ou réentrainement à l’effort qui doit être mené de façon progressive et adaptée aux possibilités de chaque patient. »
« L’écoute, l’accompagnement et l’éducation des patients font partie intégrante du traitement de manière à apprendre aux patients à s’autogérer, connaître leurs limites mais aussi à continuer des activités physiques même modérées en l’absence de contre-indications. », a ajouté Pierre Plumer, Directeur-général Domaine Thermal Mondorf.
En outre, l’exploration de troubles anxieux et dépressifs, de troubles fonctionnels et la proposition d'un soutien psychologique voire psychiatrique sont à envisager à toutes les étapes du suivi.
Cette prise en charge sera dès lors accessible aux patients au niveau national dans une organisation pluridisciplinaire afin de leur offrir de manière individualisée et optimale des services multidisciplinaires de rééducation, de réadaptation et de soutien.
Le parcours clinique d’un patient long-COVID se fait en 3 grandes étapes :
Un patient qui présente des symptômes de long-COVID doit consulter en premier lieu son médecin généraliste (ou spécialiste), qui l’oriente vers la consultation « long-COVID » selon des critères d’admission bien définis et dépassant les possibilités des soins primaires, donc uniquement si un bilan hospitalier complémentaire et/ou une prise en charge pluridisciplinaire est nécessaire.
Ensuite, le patient prend rendez-vous au Service national des maladies infectieuses (SNMI) du CHL.
« Lors de sa première consultation, une anamnèse complète du patient sera faite avec un Case Manager, sur base d’un questionnaire standardisé, permettant d’identifier les symptômes prédominants qui nécessiteront une éventuelle exploration, mais aussi de déterminer le critère d’urgence et de priorisation pour la prise en charge. Après consultation avec le médecin coordinateur du bilan patient, une décision sur l’orientation thérapeutique au sein du réseau de compétences est prise, sur base des besoins spécifiques du patient. » a expliqué le Dr Thérèse Staub du SNMI.
Si une prise en charge spécialisée s’avère nécessaire, le patient est transféré aux structures partenaires, donc soit au REHAZENTER, soit au Domaine Thermal Mondorf.
« Il est primordial que les patients long-COVID soient pris en charge de manière adaptée et qu’on leur évite un parcours diagnostique long et épuisant. » a conclu la ministre.
Le budget dédié au projet-pilote qui sera lancé au 1er août, se chiffre à 1,01 million €.
Communiqué par le ministère de la Santé, le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), le Centre National de Rééducation Fonctionnelle et de Réadaptation (REHAZENTER) le Cercle des médecins généralistes et le Domaine Thermal Mondorf